پرقدرت ترین سازمانی که کسی از آن چیزی نمی گوید :
OSC
(سازمان همکاری شانگای )(29-01-2015)
La puissante organisation dont personne ne parle : l’OSC
http://www.agenceinfolibre.fr/la-puissante-organisation-dont-personne-ne-parle-losc/
Laissez-moi vous présenter l’organisation la plus puissante
aujourd’hui, dont presque personne n’a entendu parler. Mais
c’est pour bientôt !
Le réel pouvoir fondateur derrière les BRICS.
Les BRICS, comme nous l’avons déjà traité par ailleurs, ont été
formés en réponse à la fraude financière et aux malversations
occidentales. Son plus grand objectif est de donner à l’Orient
une véritable impulsion dans des domaines comme le commerce, les
mesures de sécurité et la coopération économique, le tout au
sein d’un cercle qu’eux seuls, et non Washington, peuvent
contrôler.
Ils ont parcouru un long chemin en un court laps de temps, c’est
vrai, mais ils sont encore « les petits nouveaux du quartier ».
En fait, ils ne se sont même pas conceptualisés en tant qu’idée
sérieuse avant Septembre 2006 ! Leur première rencontre
officielle, sans l’Afrique du Sud, n’a été tenue qu’en 2009.
Cependant, il y a une autre organisation qui est apparue avant
les BRICS et qui est encore plus influente qu’eux en quelque
sorte! Une organisation dont les fondateurs ont fait naître en
premier l’idée ouvertement pro-marchés émergents, tout comme les
BRICS.
Cette organisation dont presque personne ne parle, est appelée
l’ « Organisation de Coopération de Shanghai » (OCS).
Je vous avais dit que presque personne n’en parle! Laissez-moi
vous présenter l’organisation la plus puissante aujourd’hui dont
presque personne n’a entendu parler. Mais c’est pour bientôt!
L’histoire derrière sa fondation
Tout d’abord, l’OCS s’ést établi avant les BRICS, en
fait, leurs fondations ont été posées une décennie plus tôt, en
1996. Le but de l’OCS est un peu différent de celui des BRICS,
toutefois ils ont de nombreux objectifs parallèles. Tout
d’abord, la création de l’OCS est l’idée d’une alliance
partielle entre deux pays, la Russie et la Chine.
Pourquoi alors ont-ils été créés ?
Mes frères, c’est la vraie question. Afin de bien mettre nos
têtes au clair sur ce sujet, faisons un rapide récapitulatif de
l’histoire.
Au tout début des années 1990, lorsque l’Union Soviétique avait
pratiquement perdu la guerre froide, de nombreuses garanties et
traités ont été acceptés et signés, entre Gorbatchev et les
États-Unis. L’un
des principes directeurs était que la Russie accepte, afin de
faire disparaitre pacifiquement l’Union Soviétique, que la
nouvelle Allemagne Ouest et Est réunis, adhère à l’OTAN.
Cependant, tout aussi important, en retour, la garantie avait
été donnée au Ministre des Affaires Étrangères soviétique,
Edouard Chevardnadze, que l’OTAN (une force militaire de
dissuasion créée comme un contrepoids pour surveiller les forces
soviétiques en Europe), n’utilise, en aucun cas, l’Allemagne
pour faire un « saute mouton » et étendre sa composition plus à
l’Est.
C’était un accord des plus raisonnable,
et il constituait la base d’une grande paix … une paix qui
aurait pu durer indéfiniment sans l’orgueil et l’arrogance de
l’Ouest et des « banksters » mondialistes qui se sont hissés à
sa tête. En fait, tout bêtement, le
Dragon de la Banque a immédiatement commencé à revenir sur cette
promesse fondamentale faite à la Russie, et a commencé à bâtir
des plans pour étendre son alliance militaire de l’OTAN vers
l’Est, vers le territoire russe.
La toute première admission publique faite par les mondialistes,
montrant qu’ils visaient à rompre leurs promesses sur
l’expansion de l’OTAN vers la Russie, fût faite par le président
Clinton, en faisant un demi-tour complet en 1996. Par
ailleurs, si vous vous souvenez, 1996 fût exactement l’année
durant laquelle le groupe, qui deviendra l’OCS, a été formé (ce
n’est pas une coïncidence).
« Wile E. Brzezinski », Kissinger, et tous les magouilleurs de
l’OTAN, ont immédiatement commencé à mettre leurs promesses dans
la corbeille à papier! Dans tous les sens, et aussi vers l’Est,
ils ont distribué des cartes d’adhérents à l’OTAN, à tout le
monde et même à leurs animaux de compagnie!
La Hongrie, la République tchèque, la Pologne et même d’anciens
satellites soviétiques, comme les pays baltes, ont été admis.
Plutôt que de tenir leur promesse de ne pas étendre l’OTAN, ils
ont carrément doublé le nombre d’adhérents, passant de 12 à 24
États! A l’heure actuelle, ils sont 28 membres. Ils sont même
allés jusqu’à mettre quelques bases navales en Asie centrale.
Le principe élémentaire des ces traités a été violé, et
Washington DC s’est mit en mouvement pour encercler
militairement la Russie, pour mettre des « systèmes de défense
antimissile » en place autour de leurs frontières. Tout cela a
été accompli au cours d’une planification de pivot vers l’Asie,
et même d’un déplacement vers les républiques d’Asie centrale.
Le pouvoir vacant que l’Empire Soviétique en ruine avait laissé,
allait bientôt être comblé par Brzezinski et les mondialistes
occidentaux.
Quelque chose devait être fait pour contenir les agressions des
États-Unis et de l’OTAN, et rapidement.
L’Orient Répond
La Russie et la Chine savaient ce que signifiait l’annonce du
président Clinton sur les nouvelles adhésions à l’OTAN, et se
sont immédiatement mis au travail. Dans la même année, ils ont
mit en place une organisation, dans la ville de Shanghai, connue
sous le nom de « Shanghai Five », car il avait cinq États
membres à ses débuts. Plus tard, en 2001, avec l’admission de
l’Ouzbékistan, il a été rebaptisé l’Organisation de Coopération
de Shanghai.
Jetons un coup d’œil à la brève description que Wikipédia lui
donne dans leur introduction: L’OCS est une organisation
politique, économique et militaire eurasienne qui a été fondée à
Shanghai par les dirigeants de la Chine, du Kazakhstan, du
Kirghizistan, de la Russie et du Tadjikistan.
Arrêtons nous là un moment. Rappelez-vous les pays que nous
avons examinés et que « Wile E. Brzezinski » avait désigné dans
« Le Grand Échiquier » comme clés pour contrôler l’Eurasie? Oui,
il s’agissait de l’Ouzbékistan, du Tadjikistan et du
Turkménistan, etc. Il semble que la Russie et la Chine avaient
un accord avec M. Brzezinski, sur la question de leur importance
stratégique, parce que, dès l’instant où ils ont su que les
promesses de l’OTAN étaient nulles et non avenues, ils
ont commencé à bouger pour fermer l’Ouest par ce couloir
particulier de façon définitive.
Ses six États membres couvrent 60% de la masse continentale de
l’Eurasie, sans oublier de mentionner qu’ils représentent
l’énorme quart de la population mondiale! Voici
leur logo, mettant en avant l’immense territoire que couvre leur
composition: (photo du logo)
Cependant, si vous incluez les plusieurs
États «observateurs», qui sont en lice pour une adhésion
officielle, alors tous ceux qui sont affiliés à cette
organisation comprendraient pas
moins de 50% de la population mondiale!
Rappelez-vous la carte de l’Eurasie que nous avions examiné?
Jetons-y un second coup d’œil:(photo carte 1)
Ok, maintenant jetons un coup d’œil à la
liste des pays inclus dans l’OCS (soit comme membres,
observateurs ou partenaires de dialogue):(photo carte 2)
Eh bien, bénissez-moi, si tout ceci
n’avait pas été préparé de longue date! Les
seules parties ignorées sont l’Asie du Sud, le Caucase, le monde
arabe et l’Europe! Presque tout le monde en Asie centrale et
méridionale est soit un membre, soit un «observateur» en l’état
actuel des choses!
Parlons des «observateurs» …
L’adhésion à l’OCS
Une nation ne peut pas simplement décider de rejoindre l’OCS.
Ce n’est pas comme cela que ça fonctionne. L’OCS soumet un
candidat à un processus de «filtrage» avant de l’accepter comme
nouveau membre.
La première étape pour devenir un membre, traditionnellement,
est de demander le « statut
d’observateur ». Ensuite les membres tiennent
une série de réunions de dialogue avec le demandeur, afin de
déterminer si l’application de la nation serait un ajout positif
au groupe. Le
test décisif pour l’adhésion semble consister à savoir si
l’application de la nation répondrait à quelque chose appelé
« L’esprit de Shanghai ».
Dans leurs propres mots, pour satisfaire à « L’esprit de
Shanghai », une nation candidate doit remplir ces
caractéristiques : la confiance mutuelle, les avantages
réciproques, l’égalité, la consultation, le respect de la
diversité culturelle et la poursuite du développement commun.
Si un candidat ne peut pas répondre à la plupart ou la totalité
de ces choses, il ne fait pas l’affaire. Afin d’être approuvé au
« statut d’observateur », chacun des six pays membres doit vous
donner le feu vert. Si le Tadjikistan pense que vous seriez un
préjudice pour le groupe, alors ce que pensent la Chine et la
Russie n’a pas d’importance: vous ne faites pas l’affaire! Il
doit y avoir un accord unanime pour qu’un nouveau membre
rejoigne les rangs.
La stratégie la plus évidente pour les États-Unis et l’OTAN ne
serait-elle pas tout simplement de détruire cette nouvelle
organisation de l’intérieur? Pourquoi ne rejoignent-ils pas tout
simplement l’OCS, afin de contrecarrer toutes ses voix?
Les États-Unis ont déjà demandé le « statut d’observateur » à
l’OCS! En
fait, ils ont demandé il y a près d’une décennie, en 2006, et on
leur a répondu « merci,
mais non merci ».
Cela devrait cimenter, dans l’esprit de chacun, à quel point ils
sont retranchés contre Washington et les élites occidentales.
Une organisation militaire
Toutefois, au cas où vous seriez tentés de penser que l’OCS est
juste un groupe de gars « sympathiques », qui chantent
« Kumbaya », et applique de la cire sur des propos de
solidarité, de coopération et de commerce, détrompez-vous! Ne
l’oublions pas, l’OCS n’est pas un « tigre de papier ». D’ailleurs,
l’OCS a toujours été prévu pour des questions militaires depuis
le début. Après
tout, il a été construit pour offrir la sécurité aux frontières
de ses États membres, à la fois contre le terrorisme et contre
toute tentative de placer des systèmes de missiles autour de
leur périphérie. C’était une réponse directe à l’empiètement de
l’OTAN vers les frontières de la Russie.
En fait, durant leur dernière réunion en Septembre, ils ont
réaffirmé leur position catégorique à propos de tels
comportements : « le
renforcement unilatéral et illimité du système de défense
antimissile par un quelconque État ou groupe d’états nuirait à
la sécurité internationale et à la stabilité stratégique ».
Ils disent clairement à la fois à Washington et à l’OTAN, que de
tenter de rajouter des systèmes de défense antimissile, serait
considéré comme une menace directe à leur stabilité et à leur
sécurité.
Mais, ils ne se sont pas contentés de simplement dire aux
banquiers occidentaux de faire marche arrière, ils ont commencé
à organiser certains exercices de guerre assez impressionnants.
En fait, l’an dernier, ils
ont tenu conjointement un exercice anti-terroriste qui
a impliqué plus de 7000 soldats.
Comme vous pouvez le voir, ils ont
clairement évolués du stade de « renforcement de la confiance »
des premiers jours, vers une alliance militaire assurée et
hautement synchronisée. Laquelle est capable de répondre
rapidement aux menaces internes ou externes.
Le dernier recours des « banksters »
Cela a eu pour effet de terrifier les banksters. Après tout,
leur truc habituel, depuis des siècles, a toujours été de
«diviser pour régner». Ils ont été maîtres en la matière pour
retourner les peuples et les nations les uns contre les autres,
de sorte qu’ils puissent les manipuler et les contrôler, mais
cette tactique « d’empêcher les barbares de se rassembler », à
l’évidence ne fonctionne plus.
Puisque le pouvoir militaro/bancaire anglo-américain ne va
sûrement pas s’en aller gentiment, ils se trouvent concrètement
face à une seule option: essayer d’attirer l’un d’eux dans une
guerre, avant que les concurrents arrivistes (OCS, BRICS,
Eurasian Economic Alliance) ne puissent complètement se fondre
ensemble. Si vous regardez tout autour, c’est exactement ce que
vous verrez.
En essayant de lancer inutilement une guerre contre l’Iran (qui
a le «statut d’observateur» à l’OCS), de renverser le
gouvernement de l’Ukraine, et de tenter d’attirer la Russie dans
une guerre dans la région du Dombass séparatiste, les États-Unis
et Londres ont tenté d’entraver tout nouveau progrès de cette
alliance résolument anti-dollar, anti-OTAN et anti-FMI.
Par ailleurs, en 2014, l’OCS a décidé de ne pas ajouter de
nouveaux membres pour l’instant, bien qu’elles devaient le
faire. La
raison est que l’OCS pensait que le fait que les banksters
tentent d’attirer la Russie dans la guerre en Ukraine était si
grave, que la majeure partie de la réunion de Septembre 2014 a
porté sur l’élaboration d’un accord de paix sur cette situation.
En vérité, si vous voulez connaître les forces réelles derrière
l’accord de Minsk, ne cherchez pas plus loin qu’un effort
conjoint du Kremlin et l’OCS.
La tentative de mettre l’Ukraine toute entière hors des sentiers
du commerce eurasien, n’a été que partiellement réussie. Après
tout, l’Occident a perdu la Crim��e, et à ce jour, a perdu le
Dombass également. Cet échec à prendre la base navale russe de
la mer noire, et à attirer la Russie dans un engagement, a fait
grincer les dents de Wile E. Brzezinski et de ses
marionnettistes mondialistes. Si vous ne me croyez pas, il
suffit d’écouter cette interview avec le « coyote » lui-même (https://www.youtube.com/watch?v=IrRPZ6CBvPw).
Il est plus bouleversé que je ne l’ai jamais vu, et il a
pourtant donné beaucoup d’interviews au cours des 6 derniers
mois.
Conclusion
« Wile E. Brzezinski » et les puissants « banksters »
occidentaux sont désespérés et paniqués , en regardant,
impuissants, leur plus grande crainte se dérouler devant eux. Une
alliance eurasienne viable est en train de devenir réalité.
Dans cette nouvelle réalité, leurs anciens mécanismes de
contrôle (le prêt à intérêt et l’esclavage par la dette du FMI
et de la Banque Mondiale, ainsi que les incursions de
« sécurité » des États-Unis et de l’OTAN) seront à la fois
importuns et sans pertinence.
Le monde ne veut plus de leurs « services » voyous. Après tout,
ils peuvent subvenir à leur propre sécurité!
Le monde n’a jamais eu besoin de cette drogue dette/monnaie des
banksters, et grâce à la Banque des BRICS et d’autres
mécanismes, ils vont bientôt avoir tout le capital dont ils ont
besoin pour s’attaquer à leurs défis, libéré du contrôle de la
Banque Dragon.
Les BRICS ont un énorme pouvoir, mais ils ont toujours été
l’extension économique d’une précédente alliance
militaro/sécuritaire, l’OCS. Jusqu’à ce point, l’OCS a préféré
que les BRICS soient le visage public de l’alternative à la
domination occidentale, mais
l’OCS cherche à commencer à monter sur le devant de la scène,
aux côtés des BRICS.
Tout cela conduit à des conjectures concernant une information
récente qui a fait l’effet d’une bombe.
Est-ce que quelqu’un d’autre se souvient de l’annulation du
South Stream, le gazoduc qui devait s’écouler à travers la
Bulgarie et en Europe?
Qui est désormais le principal bénéficiaire de ce pipeline de
gaz naturel à la place de l’Europe ?
La Turquie, un «observateur» de l’OCS, et (dans mon esprit) le
joueur asiatique clé, pas encore totalement admis à bord.
L’Eurasie ne peut pas bien fonctionner sans ce pays
« passerelle » qu’est la Turquie.
L’abandon du South Stream à travers l’Europe est une énorme
affaire, et cela m’amène à me demander: est-ce le prix à payer
pour convaincre la Turquie (également membre-clé asiatique de
l’OTAN) de changer de camp d’Ouest en Est? Seront-ils bientôt
l’État surprise, qui passera de pays «observateur» de l’OCS, à
membre à part entière au vote en 2015?
En outre, s’il devait rejoindre pleinement l’OCS, deviendrait-il
le premier grand membre de l’OTAN … à quitter l’OTAN?

Cependant, qu’il soit inclus parmi les membres en 2015 ou non,
une chose est certaine, ces nouvelles organisations de l’Eurasie
sont en train de changer l’histoire si vite, que cela dépasse
l’entendement. Le 21ème siècle ne ressemblera en rien à ses
prédécesseurs. L’Asie (et progressivement l’Europe) semble être
désireux de créer un monde nouveau, libéré des banksters
« US/UK » et de leur contrôle militaire.
A quoi ressemblera la terre, une fois que tout le monde se sera
rendu compte que la «nation indispensable» a toujours été
complètement dispensable?
Enfin, qu’arrivera-t-il au dollar américain, et à ceux dont la
richesse repose sur lui, une fois que cette nouvelle puissance
mondiale sera prête à l’abandonner entièrement (comme ils le
feront très certainement)?
Depuis plus d’un siècle, les banques occidentales ont volé la
richesse et le destin des plus anciens, des dynasties de l’Est,
et maintenant les peuples et les pouvoirs qui y sont situés, ont
formé un partenariat aux dents solides pour une coopération sur
leurs intérêts communs.
Désolé « Wile E. Brzezinski » et les amis mondialistes mais
votre rêve de garder l’Eurasie divisée et sous votre pouce est
bouleversé !
Par ailleurs, à toute personne détenant toujours follement la
majorité de leur richesse dans l’instrument « has-been » de la
dette appelé le dollar américain (dont l’Orient se déleste
complètement) … Je vous suggère d’y remédier avant la fin de ce
dessin animé, et le petit cochon dit:

https://www.youtube.com/watch?v=-_kwXNVCaxY
Traduction : Rochelle Cohen
Source : silverdoctors.com
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