پیمان با
شیطان- ایالات متحده و رایش سوم (و صهیونیست
و غرب، م ش)
http://reseauinternational.net/pacte-avec-le-diable-usa-et-3eme-reich/
Pacte avec le diable – USA et 3ème Reich
Comme cela nous savons que le massacre
des Juifs était voulu par les US/Sionistes, Rothschild et les
banques US, car il fallait cette 2ème guerre mondiale et leur
massacre pour permette à Rothschild d’obtenir la Palestine, ce
qui lui avait été promis par l’Angleterre lors de la Déclaration
Balfour du 2 novembre 1917.
Rappelons aussi que la Russie à l’époque était entre les mains
de sionistes depuis la révolution dite Bolchévique.
Pacte
avec le diable, est un documentaire (0h53) qui
enquête sur les relations entre les Etats-Unis et le régime nazi
d’Hitler lors de la Seconde Guerre Mondiale, de l’implication
des banques et industries américaines, et de cette période noire
de notre histoire, l’Holocauste, qu’ils connaissaient déjà dès
le début.

Documentaire Choc ! : Le 3ème Reich – Le Pacte avec le Diable
Des dizaines d’années après la dernière guerre mondiale,
Fabrizio Calvi, journaliste d’investigation spécialisé dans les
affaires de criminalité organisée et des services secrets,
enquête sur ceux qui étaient au courant de l’existence des camps
de concentration avant la découverte par le grand public. Des
documents déclassifiés par la CIA fournissent des éléments de
réponses et indiquent que dès 1941, les Alliés connaissaient la
situation mais se refusaient à la divulguer.
Les relations entre les Alliés et les Nazis pendant et après la
Seconde Guerre Mondiale n’ont-elles pas parfois relevé d’un
pacte avec le diable ? Oui, si l’on se réfère à l’utilisation de
criminels de guerre lors des jeux troubles de la guerre froide.
Si le silence et l’inaction valent complicité, l’absence de
réaction des Alliés face à l’Holocauste, qu’ils connaissaient
pourtant dès les premières heures, tient elle aussi du pacte.
Ce documentaire exceptionnel puise ses sources au cœur des
archives secrètes rendues publiques par les américains. Fabrizio
Calvi, spécialiste de l’histoire du renseignement, démonte les
mécanismes de la conspiration du silence qui s’est établie
autour de la destruction des juifs d’Europe, notamment lors de
la conférence des Bermudes sur les réfugiés d’avril 1943. Avec
Steeve Baumann, reporter et réalisateur, ils se sont plongés
dans 250.000 pages de dossiers tout juste déclassifiés de la
CIA, du FBI et des services secrets de l’armée américaine, le
tout recouvrant une période allant de la fin des années 1930
jusqu’au début des années 1980. Les services secrets auraient
ainsi entretenu des rapports avec les Nazis.
Pourquoi les américains ont laissé faire l’inimaginable sans
réagir ? Quels ont été les enjeux politiques et humains de cette
entreprise sans nom ? Que cachait le mystère du train de l’or
hongrois ? Quelle était l’ampleur de l’infiltration soviétique
des réseaux nazis pendant la guerre froide, notamment les
réseaux dormants de Martin Bormann ? Une somme de révélations
sur le cynisme des dits « vainqueurs. »
Point de départ de l’enquête, le 8 octobre 1998. Bill Clinton
signe à Washington D.C le Nazi war crimes diclosure act. Après
des années de pression, l’Amérique accepte d’ouvrir ses archives
sur la Seconde Guerre Mondiale, mais aussi sur une période bien
plus longue pour tout ce qui concerne les criminels de guerre.
Un groupe d’historiens a dépouillé ces 8 millions d’archives.
Fabrizio Calvi et Steeve Baumann se sont glissés dans leurs pas
pour nous révéler à leur tour les secrets troublants qui
dormaient depuis 60 ans dans les coffres des archives
américaines. Trois axes majeurs se dégagent de cette enquête.
Premièrement, la période de l’holocauste : que savaient les
alliés de la préparation puis de l’exécution de la solution
finale ? Deuxièmement, biens juifs volés, nazis et banquiers
américains. Troisièmement, le grand retournement de l’après
guerre, dont les témoins et acteurs de ce retournement d’espions
nazis par les nouveaux maîtres américains, ont été retrouvés, et
témoignent. L’entremêlement de ces nouveaux documents d’archives
et de la parole des témoins encore vivants fait redécouvrir une
période noire de notre histoire.
Les énormes capitaux américains qui furent transférés en
Allemagne depuis 1924 sous la couverture du « plan Dawes et du
plan Young » constituaient la base sur laquelle Hitler allait
construire toute sa machinerie de guerre.
Ainsi que l’expose le Dr Anthony C. Sutton dans Wall Street and
the Rise of Hitler, l’apport fourni à l’Allemagne avant 1940 par
le capitalisme américain en vue de préparer la guerre, ne peut
être qualifié que de phénoménal. Il fut, sans aucun doute,
décisif pour la préparation militaire de l’Allemagne.
Des preuves permettent de comprendre que l’économie américaine
était lucide sur la nature du nazisme, prête à l’aider et à le
soutenir financièrement par intérêt personnel, et pleinement
conscient que cela finirait par une guerre où seraient impliqués
l’Europe et les Etats-Unis…
En connaissant les faits, il est impossible de plaider
l’ignorance. Les preuves très soigneusement établies qui
attestent que les milieux bancaires et industriels américains
étaient largement impliqués dans la montée du troisième Reich
sont maintenant accessibles au public. On peut les trouver dans
les comptes rendus et les rapports sur les auditions du
gouvernement publiés entre 1928 et 1946 par les différentes
commissions du Sénat et du Congrès américain.
Une partie de cette histoire accablante est dévoilée par
l’historien G. Edward Griffin : « Les années précédant la
Deuxième Guerre Mondiale virent naître un cartel international
qui avait son siège central en Allemagne. C’était une force
politique et économique puissante. »
Ce cartel s’appelait I.G. Farben. Il avait développé, en 1926,
une méthode pour obtenir de l’essence à partir du charbon et
conclut donc en 1939 un contrat de licence avec la Standard Oil
de Rockefeller. Cette dernière donna à I.G. Farben 546.000 de
leurs actions ordinaires d’une valeur de plus de 30 millions de
$. Plus tard, I.G.Farben construisit des raffineries juste à
côté des camps de concentration. Les prisonniers furent
contraints d’y travailler comme des forçats pendant qu’on
produisait dans les raffineries le gaz pour les chambres à gaz.
Le groupe I.G. Farben était contrôlé par les Rothschild et
écoulait des sommes d’argent énormes dans l’économie allemande,
et particulièrement aux futurs SS.
Plus de 100 firmes américaines furent impliquées dans la
construction de la machinerie de guerre allemande. Entre autres,
la General Motors, ITT, Ford, International Harvester, Bayer,
etc. Les investisseurs ne visaient pas des affaires à court
terme puisque le contrat entre ces firmes et le gouvernement
allemand stipulait que celles-ci n’avaient pas le droit de
sortir un pfennig, subdivision du Deutsch Mark, d’Allemagne. De
toute évidence, tout cela avait déjà été préparé dans les
moindres détails. Cependant, seuls les initiés étaient au
courant.
Griffin résume les derniers événements ainsi : « Les banquiers
et leurs agents sont à l’origine de la situation qui a conduit à
la première guerre. Ils en retirèrent un bon butin, financèrent
la révolution russe et obtinrent le contrôle de ce grand pays.
Ils manipulèrent les événements en Europe d’après guerre de
façon à provoquer une situation qui les amena, financièrement
parlant, au septième ciel. Ils utilisèrent des fonds américains
qui leur permirent d’empocher d’énormes commissions pour équiper
l’industrie allemande d’installations techniques de pointe… »
Quand de plus en plus de personnes parlent de mafia de la
finance, de complots, de non respect des lois et de crimes
contre l’humanité, l’histoire confirme que ces mots sont
vérités, même encore pour notre époque. Tout le reste n’est
qu’endoctrinements, propagandes, faux récits historiques,
lamentations éternelles…
Des témoignages de spécialistes et d’anciens responsables
viennent étoffer les recherches d’un documentaire explosif sur
cette sombre partie de l’Histoire américaine et de la Deuxième
Guerre Mondiale.
Lepouvoirmondial
http://www.chaos-controle.com/archives/2015/01/03/31250312.html
|