شیمی کودتا ها. بهارعربی و کودتای اوکرائین از طریق آمفتامین «این
قرص های وحشت» عملی شد.
(هم م ش) (14-01-2015)
La chimie des coups d’état. Les « Printemps arabe » et le putsch
de Kiev ont été accomplis grâce aux amphétamines, ces « pilules
de l’horreur ».
Derrière
les coupeurs de tête de l’EIIL et ‘’partisans ukrainiens’’ se
trouvent les « pilules de l’horreur », la puissante amphétamine
Captagon, qui supprime le sentiment de pitié et augmente la
résistance physique.
Le quotidien Il
Giornale publie
un article de Gianni Michalessina qui raconte que le premier
Captagon fut utilisé au Caire. La « mixture de l’horreur » s’est
répandue avec le « printemps arabe » comme l’élixir d’endurance
et du renforcement de la révolution, distribuée aux foules
prêtes à se sacrifier de Tunis à l’Egypte, de la Lybie à la
Syrie.
L’amphétamine mortelle est devenue un cauchemar pour le
Moyen-Orient : dans l’extase les gens égorgent et tuent avec un
sourire sur le visage, la tête vide. Les Kurdes témoignent de ce
qu’ils ont trouvé ces pilules dans les poches de centaines de
combattants liquidés à Kobanî. Les analyses de la bande son
effectuées par les services US sur les vidéos où figure Djihadi
John, le combattant britannique chargé d’exécuter les otages,
indiquent que le bourreau agit sous l’effet d’amphétamines.
Les
premiers récits sur l’utilisation de cette substance proviennent
des manifestants tombés aux mains de la police en 2011. Beaucoup
d’entre eux reconnaissent avoir reçu des organisateurs ces
pilules extraordinaires qui donnent « courage et force ». Les
livraisons se faisaient alors aux Frères Musulmans depuis Dubaï
et le Qatar.
Les premières analyses chimiques furent effectuées par les
Carabiniers italiens. Lorsqu’ils se rendirent en Libye en 2013,
pour tenter de transformer les groupes de combattants en une
armée régulière, et sur la base d’analyses de sang, ils
comprirent qu’au moins 30% des candidats étaient dépendants aux
drogues.
Aujourd’hui le Captagon transforme le fanatisme des combattants
de l’EIIL en férocité animale. Ces pilules, produites désormais
dans les territoires qu’ils contrôlent, sont devenues un
véritable carburant pour mener guerre et terreur, conclut
l’auteur de cet article.
Toutes les preuves montrent que ce ne sont pas les sourates du
Coran mais bien les amphétamines qui occasionnent ces actes
criminels, et également la façon dont ces drogues sont arrivées
au Qatar et à Dubaï. Les idéologues de leur utilisation sont les
oligarques sionistes qui contrôlent les pays occidentaux, et
leurs satellites orientaux de l’Europe.
Mis en
production par l’OTAN en 2011 dans les laboratoires bulgares, le
Captagon est désormais produit dans tout le Moyen-Orient, en
particulier en Syrie. Début avril 2014, l’armée arabe syrienne a intercepté
un véhicule empli de tablettes de Captagon et de composants
équivalents à une tonne de Captagon (phenidate
hydrochloride), l’amphétamine qui provoque l’euphorie et réduit
la douleur. Mélangé à d’autres substances, telle que le
haschisch, il représente ‘’l’alimentation de base’’ des
djihadistes, qui perdent la sensation de leur douleur, de celle
des autres, et leur font commettre des horreurs « en rigolant ».
En février 2014, dans l’article intitulé « préparations
psychotropes comme instrument de manipulation de la conscience
des foules en général, et celle du Maïdan en particulier »,
nous avons passé en revue l’utilisation des psychotropes
artificiels dans les guerres ; mais nous avions souligné comment
le boxeur Klishko-Etinson acheminait au Maïdan, sous l’étiquette
d’additifs sportifs, les psychotropes de combat de l’armée
américaine qui font partie de la trousse de secours des unités
spéciales.
Ces substances sont des drogues qui non seulement augmentent la
confiance en soi, mais réduisent les besoins de repos et de
sommeil. A plus hautes doses elles provoquent une intense
excitation psychique, dont l’effet peut être prolongé jusqu’à
trois jours pleins. De l’utilisation prolongée surviennent des
psychoses, qui souvent s’accompagnent de délires et
hallucinations, dont découle un niveau extrême d’agression (ce
que nous observons jusqu’à présent dans l’Ukraine occupée).
Nous avions écrit alors que les « combattants du Maïdan »
recevaient de l’étranger non seulement de l’argent, mais de la
drogue, qui par ailleurs se vendait librement et bon marché sur
l’euromaïdan.
En avril 2014, en qualité de maire de Kiev, V . Bondarenko, a
reconnu que dans la mairie occupée pendant l’euromaïdan il y
avait un atelier de fabrication de drogue. C’est ainsi que ces
substances étaient massivement distribuées aux tueurs d’Odessa
le 2 mai.
Le matériau
nécessaire à la fabrication de Captagon fut livré en quantité
industrielle, entre autres, le 11 mai, lorsqu’à l’aéroport de
Kiev, où dans le plus grand secret, est
arrivé un vol dont on déchargea des volumes entiers de chimie,
et des emballages avec des pilules d’amphétamines.
Ce vol était accompagné d’un collaborateur de la CIA, Richard
Michael, et de 70 mercenaires d’une compagnie privée polonaise.
Sur ordre des services ukrainiens de sécurité, les mercenaires,
le convoi et son contenu chimique n’ont pas fait l’objet de
vérifications, et ont quitté les bâtiments de l’aéroport dans
des véhicules aux vitres teintées. Ensuite il y eut encore des
livraisons, jusqu’à ce que la production soit implantée sur le
territoire ukrainien.
Aujourd’hui, sous l’effet de ces drogues, les forces armées de
ce que fut l’Ukraine avec les mercenaires sous l’autorité du
régime des oligarques sionistes autochtones, et leurs complices
étrangers, accomplissent un véritable génocide des Russes de
Novorossia.
Traduit par Mufasa pour Réseau
International

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