Document : « Special virus Program »: Le Sida a bien été
développé en laboratoire par les Etats-Unis (partie 2)
Avant
toute chose, pour ceux qui n’auraient pas lu la première partie, je
vous invite à la consulter car
les recherches duDr
Boyd E.
Graves sont les plus pointues dans le domaine. Je pense par
ailleurs avoir trouvé des documents très compromettants qui
confirment que le projet « special virus » alias Sida est bien
une réalité.
Commençons par ce document provenant directement d’une audition
devant le sous-comité du comité de crédit de la chambre des
représentants du congrès américain. Ce
document évoquant les crédits accordés au département de la
défense datant
de 1970.
En voici sa traduction:
« Il y a deux choses que j’aimerais mentionner dans le
domaine de l’agent biologique. La première est la possibilité
d’une surprise technologique. La biologie moléculaire est un
domaine qui progresse très rapidement, et d’éminents
biologistes croient qu’en l’espace de cinq à dix ans il serait
possible de produire un agent biologique synthétique, un agent
qui n’existe pas naturellement et pour lequel nous n’avons pas
d’immunité naturelle acquise.
Monsieur Sikes : Est-ce que nous travaillons dans ce domaine ?
Docteur MacArthur : Non, ce n’est pas le cas.
Monsieur Sikes : Pourquoi pas ? Par manque d’argent ou par
manque d’intérêt ?
Docteur MacArthur : Certainement pas un manque d’intérêt.
Monsieur Sikes : Pourriez-vous fournir pour nos archives les
informations sur ce qui serait requis, quels seraient les
avantages d’un tel programme, les délais et les coûts dont on
parle ?
Docteur MacArthur : Nous en serions très contents.
(Les informations sont les suivantes
« Les progrès drastiques qui sont en cours dans le domaine de la
biologie moléculaire nous ont amené à investiguer la pertinence
de ce domaine de la science appliqué à la guerre biologique. Un
petit groupe d’experts s’est intéressé au sujet et a fourni les
observations suivantes :
1. tous les agents biologiques à ce jour représentent des
maladies d’origine naturelle, et sont donc connus des scientifiques à
travers le monde. Ils sont facilement disponibles pour les
recherches des scientifiques qualifiés,
que cela soit dans un but offensif ou défensif.
2. Dans les cinq à dix ans à venir, cela sera probablement
possible de créer un nouveau micro-organisme infectieux qui
différerait d’après certains aspects importants de n’importe
quel autre organisme causant des maladies. Le plus important est
que cela pourrait être réfractaire aux procédés immunologiques
et thérapeutiques dont nous dépendons pour maintenir notre santé
relativement libre de maladies infectieuses.
3. Un programme de recherche pour explorer la faisabilité de
cela pourrait être complété en approximativement 5 ans pour un
coût total de 10 millions de dollars.
4. Cela serait très difficile d’établir un tel programme. La
biologie moléculaire est une science relativement nouvelle. Il
n’y a pas beaucoup de scientifiques hautement compétents dans le
domaine, la plupart d’entre eux travaillent dans des
laboratoires d’université, ils sont généralement convenablement
subventionnés par des sources autres que le département de la
défense. Cependant nous avons considéré possible d’initier un
programme adéquat à travers l’académie nationale des sciences et
le conseil national de recherche (NAS-NRC).
Le sujet a été évoqué avec le NAS-NRC, et des plans ont été
tentés pour commencer le programme. Cependant des fonds
décroissants, les nombreuses critiques concernant le programme,
et notre réticence à impliquer le NAS-NRC dans un projet si
controversé nous a menés à reporter le projet de deux ans.
Il s’agit d’une question hautement controversée, et de
nombreuses personnes pensent qu’une telle recherche ne devrait
pas être entreprise de peur qu’elle conduise à une autre méthode
de mise à mort massive de populations importantes. D’un
autre côté, sans la connaissance scientifique qu’une telle arme
est possible, et une compréhension de la façon dont cela peut
être fait, nous ne pourrons pas faire grand-chose pour concevoir
des mesures défensives. Si un ennemi développe ce programme,
nous pouvons être sûrs que nous souffrirons alors d’un réel
problème d’infériorité technologique militaire pour
lequel il n’y aura pas de programmes de recherche adéquat. »
Pour les anglophones, je vous conseille également l’enquête du
Dr Horowitz sur le bioterrorisme d’état. Ces recherches sont
très bien documentées et il revient sur l’origine humaine de
nombreux virus. On y apprend que dans les années 70, en pleine
guerre froide, les Etats-Unis et l’Union soviétique ont échangé
leurs connaissances en termes d’armes biologiques, qu’en
1989, Les états-Unis ont fourni entre autre de l’Anthrax
à Saddam Hussein (via l’American
Type culture collection),
que des expériences de transmission de maladies telles que
différents type de grippes ou la pneumonie à mycoplasme sur des
prisonniers du Texas ont été réalisés par l’école de médecine de
l’université de Baylor dans les années 70.
Il revient également sur le Le
false flag à l’Anthrax de 2001,
les liens avec les laboratoires pharmaceutiques,
les magouilles gouvernementales cachées au public. C’est un
documentaire exceptionnel qui mériterait d’être traduit en français. On
peut le trouver sous-titré en espagnol également.
http://www.youtube.com/watch?v=IktAYg9YCPA
Concernant plus précisément le virus du Sida, il se trouve que
le Dr Robert Gallo, ayant découvert le virus se trouve être le
principal concepteur du virus. Comme quoi l’histoire de
ce virus est une totale imposture.
(mot de passe: phasefive1978 )Enfin, j’ai découvert ce
document du département de la santé publique qui
évoque expressément les recherches du programme « Special
Virus ». On y apprend entre autre qu’ils ont travaillé sans
relâche à la création de ce programme entre 1965 et 1978. Le
budget est d’ailleurs passé de 16 millions en 1965 à près de 60
millions en 1978: au total près de 547 millions dépensés.
Pourtant, en 1969, Nixon
avait soit disant décidé d’arrêter le programme de guerre
bactériologique offensif.
En 1972, les américains signent la convention sur les armes
biologiques et en 1975 le protocole de Genève. Vaste supercherie
en somme…Dans ce document, le nom du Dr Robert Gallo y est nommé
ce qui confirme son implication dans ces recherches. Celui du
professeur Montagnier également dans le cadre d’un programme
d’échange de connaissances avec la France.
On doit probablement pouvoir trouver quelques perles là dedans
mais 417 pages de jargon virologique en anglais,
ce n’est pas évident à déchiffrer.Ce document ne l’évoque pas
mais autant vous dire que le
virus Ebola ne provient pas des chauves souris non plus…
Voir aussi:Le
SIDA et d’autres virus ont bien été créés en laboratoire par les
Etats-Unis dans un but génocidaire (partie1)
http://fawkes-news.blogspot.fr/2014/10/le-virus-du-sida-bien-ete-developpe-en.html
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